Les gouttes pendues glissent sans bruit des nuages
Quand pleure le ciel, vois-le, immense et sans âge
Dans les âmes perdues, dans les regards éteints
Vides coquilles tendues de soie et de satin
Viendra-t-il enfin le froid soleil de l'hiver
Adoucir les blessures et les chagrins d'hier ?